Hein oui que ça faisait longtemps que je n’avais plus parlé d’un embouteillage officiel ? Il faut dire qu’une fois qu’on a mis le doigt dans les embouteillages indépendants, on se retrouve vite avec tout le bras coincé dedans…
Ce Bowmore-ci mérite pourtant d’être mis sous les feux des projecteurs. Il s’agit du Bowmore 15 ans Laimrig, édition limitée à 18000 bouteilles (batch 3), 53.7%. Pas du réduit donc, mais apparemment du brut de fût.
Et comme je suis dans une période sherry et tourbe (ça colle bien au corps, parfait pour tenir chaud en hiver ;-) ) ; tout ce qui compose ce Bowmore, il tombe bien ce Laimrig !
Ce Bowmore-ci mérite pourtant d’être mis sous les feux des projecteurs. Il s’agit du Bowmore 15 ans Laimrig, édition limitée à 18000 bouteilles (batch 3), 53.7%. Pas du réduit donc, mais apparemment du brut de fût.
Et comme je suis dans une période sherry et tourbe (ça colle bien au corps, parfait pour tenir chaud en hiver ;-) ) ; tout ce qui compose ce Bowmore, il tombe bien ce Laimrig !
- Nez : De la fumée sherrysée, hmmm ça sent bon ça ! Je sens bien le côté Bowmore fumée/marine ; et la couche sherry vient parfaitement se marier avec. Du cuir, des embruns, de la noisette, du tabac… Très fort et très complexe.
- Bouche : Badaboum, explosion d’épices exotiques ! Du cuir caramélisé, des cendres confites. La tourbe fumée arrive en douceur pour devenir de plus en plus présente et se mélanger aux fruits à coque et noirs très cuits.
- Finale : Bien longue qui tapisse bien la bouche. Pas mal de sel et de poivre dans la gorge et sur le bout de la langue. Du thé noir se révèle, de la cendre froide. Et toujours cette puissance en bouche.
- Verdict : Mais qu’il est bon ce Bowmore ! Le mariage tourbe / sherry est parfaitement réussi, équilibré, complexe. Le bois n’est jamais ni envahissant ni asséchant.
- 90/100.
très impressionnant... c'est fou ce que ça peut révéler comme arômes, senteurs une seule gorgée de cette boisson. ça vaut vraiment le coup de prendre le temps de déguster...
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