lundi 8 août 2016

Caol Ila 25 ans Frisky Whisky, 1984/2010, 54%

Caol Ila... Littlemill... Clynelish... Cadenhead... Cadenhead... Clynelish... Littlemill... Caol Ila... Ca devient lassant sur ce Blog, non ? ;-)

Bah oui, que voulez-vous... Je préfère vous parler de choses que j'apprécie que de choses que je ne trouve pas terribles. Je sais, c'est égoïste. Mais on se fait déjà assez chier au boulot pour en plus se faire chier dans son hobby, pas vrai ? Et comme pour moi le whisky est un hobby, hé bien non je ne parle pas des whiskies que je ne trouve pas dignes d'intérêt (et il y en a plein qui me passent pas les papilles, si si je vous jure !).

Bref.

Caol Ila 25 ans Frisky Whisky, 1984/2010, 54%

Aujourd'hui, je vous parle d'un Caol Ila distillé en 1984 et embouteillé il y a déjà... 6 ans. Ça fait un bail, dans le whisky ! C'est loin d'être une nouveauté, donc. Ce qui m'a surtout attiré, c'est le 1984 de l'année de distillation, car tous les Caol Ila 1984 que j'ai goûtés m'ont laissé un très bon souvenir. J'en ai d'ailleurs déjà présentés plusieurs.

Quant à Frisky Whisky, c'est une gamme de John Milroy, qui n'est pas un embouteilleur mais une marque de l'embouteilleur Berry Bros & Rudd (qui est le plus vieux négociant en alcools des Royaumes Unis). Et je ne sais pas exactement qui distribue BBR (le diminutif de Berry Bros & Rudd) en Belgique, mais on ne voit pas souvent ces bouteilles chez les cavistes wallons.

Caol Ila 25 ans Frisky Whisky, 1984/2010, 54%
Caol Ila 25 ans Frisky Whisky, 1984 / 2010, Fût de Bourbon n°5393, 54%
  • Nez: Très cendré, c'est ce qui saute au...nez (désolé ^^). Passé cette cendre (qui reste dominante), de la paille sèche, une fraîcheur mentholée grandissante, et quelques fruits (abricot et citron) asséchés. Après aération, la paille cendrée prend de l'ampleur.
  • Bouche: Du sirop d'abricot, de la fumée cendrée, de la compote de pêche, et un peu de miel. Un mélange fruité / cendré accompagné d'épices poivrées.
  • Finale: Longue. Un léger acidulé d'agrume apparaît et se mélange à la cendre froide. En rétro-olfaction, des vagues mentholées remontent dans le nez. Une mini amertume fruitée en toute fin de bouche.
  • Verdict: Boudiou boudiou ! Décidément, 1984 est une grande année pour Caol Ila ! J'en ai goûtés un nombre non négligeable, et je ne me rappelle pas en avoir croisé de mauvais. Celui-ci ne déroge pas à la règle, ni à mes goûts personnels.
  • 89/100.

Complètement sold out maintenant, j'ai chopé la dernière bouteille (lalalèreuh ! :-p ) en Allemagne le mois passé, pour 145€ :-)

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